GINA ANGHILERI
du 19 Janvier au 23 février 2007
24 mai 2012
vernissage le vendredi 19 Janvier à 18h30
Exposition ouverte du lundi au samedi de 15h à 19h. Nocturnes les lundi et mercredi jusqu’à 21h30
Ce projet est soutenu par La Ville de Marseille
Bruit de Maison de Gina Anghileri
Le projet de création « La ville dans les plis, Le bruit qui court » initié par l’association Vol de Nuits, lieu de production et de diffusion pour la photographie contemporaine réunit 6 photographes :
Corinne Janier , photographe, plasticienne, vit et travaille à Lyon ; Stanislas Amand , photographe, vidéaste, urbaniste, vit et travaille entre Toulon, Marseille et Paris ; Manon Avram , photographe, chorégraphe, vit et travaille à Marseille ; Paul Anders , vidéaste, photographe, plasticienne, écrivain, vit et travaille à Marseille ; Gina Anghileri , photographe, plasticienne, vit et travaille entre Marseille et Santiago du Chili ; Stéphanie Tétu , photographe en agence, vit à Marseille et travaille ici et là.
Chacun dans un parcours singulier travaille à répandre une rumeur, les histoires qui circulent autour du quartier du Camas à Marseille, jouant de vrai-faux évènements. Ce projet interroge la ville, ce qui s’y passe, se qui s’y dit et surtoutla capacité de la photographie à rendre compte d’un évènement.
L’installation photographique de Gina Anghileri est le deuxième volet d’une série d’expositions thématiques qui se déroulent tout au long de la saison 2006/2007.
La proposition de Gina Anghileri part d’une série de rencontres avec des habitants du quartier du Camas à Marseille. Chacun lui a livré un secret, liè à un objet personnel, dans l’intimité de son domicile. Que reste-t-il de cet échange, que restitue l’image photographique ? Cette installation est une tentative qui joue de la dynamique entre ce qui se donne à voir et ce qui se dérobe.
Gina Anghileri est née à Santiago du Chili en 1972. Aprés des études artistiques elle obtient la bourse Fondart et s’intalle en France pour poursuivre son cursus aux Beaux-Arts de Marseille. Elle utilise la photographie dans des dispositifs où la présence physique du spectateur est cruciale. Elle interroge les limites et les paradoxes de la photographie, avec notamment des installations en volume, des dispositifs partant de la lumière pure, etc... Elle a participé à de nombreuses expositions individuelles ou collectives au Chili. Vol de Nuits présente sa première exposition personnelle en France.